La relève tricole est presque prête
Publié le 08/10/2013 à 07:42
Le roller français peut être rassuré. Il a un bel avenir devant lui comme l’ont démontré les championnats de France de marathon organisé par l’Amicale laïque de Valence-d’Agen ce week-end. Sous les yeux du président de la Fédération de roller sports, Daniel Bonithon, du vice-président du comité européen de course, Roland Broustaut, et des différents techniciens de la Fédération, les ex-grands champions que sont Pascal Briand, Alain Nègre et Arnaud Gicquel (voir photos ci-dessous), les jeunes patineurs hexagonaux ont démontré qu’ils étaient prêts à bousculer la hiérarchie sur les routes valenciennes.
C’est, en effet, le grand constat que les observateurs du petit monde du roller, parfois un peu trop fermé, ont pu faire. Tant chez les féminines, avec des cadettes au coude à coude avec les élites, que chez les hommes, de nouveaux noms commencent à se faire entendre aux oreilles d’un public moins averti. Tel celui du patineur de Lamballe, Nolan Beddiaf, second dimanche après-midi, auquel la médaille de bronze obtenue au relais 5 000 m des Mondiaux de roller de septembre a donné un véritable coup d’accélérateur.
Travail et patience pour s'inscrire dans la duréeChez les filles, il faut même descendre plus bas en termes d’âge puisque ce sont carrément les cadettes qui ont mis le feu à la course. La Briochine Maelann Le Roux aurait presque mérité de cumuler la médaille d’argent des seniors élites à son maillot tricolore des cadettes puisque c’est elle qui a terminé seconde au scratch, seulement devancée par Justine Halbout. à l’image de ce qui se passe au niveau national, chez les Valenciens aussi les jeunes sont en train de prendre le pouvoir. Surtout chez les filles où Mounya Talloussi, 3e en cadettes, et Jessie Fernandès, ont réalisé une course exemplaire, même si «Gaby» Frégona nous confiait qu’en appuyant un peu plus sur les jambes à l’entraînement ces demoiselles pouvaient rêver à mieux.
Chez les garçons, bien qu’encore tout jeune, on peut déjà parler de confirmation pour Joris Gardères (VRS) resté longtemps au chaud dans le peloton dimanche avant d’aller chercher une belle place d’honneur, la 6e, dans la course élite hommes. Un niveau où l’on sait que la patience et le travail sont les meilleurs conseillers pour espérer atteindre le podium dans le futur.
Le roller français peut être rassuré. Il a un bel avenir devant lui comme l’ont démontré les championnats de France de marathon organisé par l’Amicale laïque de Valence-d’Agen ce week-end. Sous les yeux du président de la Fédération de roller sports, Daniel Bonithon, du vice-président du comité européen de course, Roland Broustaut, et des différents techniciens de la Fédération, les ex-grands champions que sont Pascal Briand, Alain Nègre et Arnaud Gicquel (voir photos ci-dessous), les jeunes patineurs hexagonaux ont démontré qu’ils étaient prêts à bousculer la hiérarchie sur les routes valenciennes.
C’est, en effet, le grand constat que les observateurs du petit monde du roller, parfois un peu trop fermé, ont pu faire. Tant chez les féminines, avec des cadettes au coude à coude avec les élites, que chez les hommes, de nouveaux noms commencent à se faire entendre aux oreilles d’un public moins averti. Tel celui du patineur de Lamballe, Nolan Beddiaf, second dimanche après-midi, auquel la médaille de bronze obtenue au relais 5 000 m des Mondiaux de roller de septembre a donné un véritable coup d’accélérateur.
Travail et patience pour s'inscrire dans la duréeChez les filles, il faut même descendre plus bas en termes d’âge puisque ce sont carrément les cadettes qui ont mis le feu à la course. La Briochine Maelann Le Roux aurait presque mérité de cumuler la médaille d’argent des seniors élites à son maillot tricolore des cadettes puisque c’est elle qui a terminé seconde au scratch, seulement devancée par Justine Halbout. à l’image de ce qui se passe au niveau national, chez les Valenciens aussi les jeunes sont en train de prendre le pouvoir. Surtout chez les filles où Mounya Talloussi, 3e en cadettes, et Jessie Fernandès, ont réalisé une course exemplaire, même si «Gaby» Frégona nous confiait qu’en appuyant un peu plus sur les jambes à l’entraînement ces demoiselles pouvaient rêver à mieux.
Chez les garçons, bien qu’encore tout jeune, on peut déjà parler de confirmation pour Joris Gardères (VRS) resté longtemps au chaud dans le peloton dimanche avant d’aller chercher une belle place d’honneur, la 6e, dans la course élite hommes. Un niveau où l’on sait que la patience et le travail sont les meilleurs conseillers pour espérer atteindre le podium dans le futur.